Lost in Space (TV)

Publié le 23 août 2018 par Bigreblog

Hello les gens!

J’ai trouvé une nouvelle méthode d’écriture d’articles, dites donc. Je crée les brouillons de tout ce que je dois faire et j’en rédige au moins deux par jour. A quoi servent les vacances après tout? XD

Apparemment, elles servent à regarder des séries en famille, et la famille aimant la SF et un certain acteur, nous avons donc décidé de regarder Lost in Space. Et si moi j’avais lu les critiques, mes parents pas, et finalement, ben…c’était pas si nul. XD

Je ne spoile rien!

La famille Robinson s’apprête à aller coloniser le système d’Alpha du Centaure. Sauf qu’un incident d’origine inconnue les fait se crasher, ainsi qu’une centaine d’autres colons, sur une planète inhospitalière. Heureusement que chaque membre de la famille a reçu un entrainement poussé…

J’ai appris l’existence de la série via le Twitter de son acteur principal, qui venait tout juste de terminer d’incarner le pirate le plus merveilleux de toute la télé. J’ai donc vite été intriguée, surtout que la SF c’est ma came. Et peu importe si c’est le reboot d’une série des années 60.

Malheureusement, la série a ensuite eu assez mauvaise presse, notamment auprès de mes copinautes (Shipou entre autres). Je n’ai donc pas visionné ce qui me faisait très envie, jusqu’à ce que la famille réclame à hauts cris.

Qu’on se mette au diapason direct: je ne dénigre en rien les opinions que j’ai pu lire sur Internet. Certes, il y a plein d’incohérences, certains personnages sont insipides et ont des motivations de merde, mais il reste le visuel, le casting, et surtout, comme souvent, les personnages pourtant « délaissés » de premier visu.

J’ai donc en fait assez apprécié la saison dans son ensemble, et j’ai hâte de voir ce que la suite va donner. Surtout que là, l’intrigue sera bien plus passionnante et les enjeux plus importants que jamais!

Vu que j’aime la SF, je voulais aussi adresser le fait que, loin de la simple « terraformation » (l’un des thèmes récurrents de la science-fiction où l’homme colonise une planète), on a aussi et surtout ici des enjeux psychologiques et qui tiennent presque de l’ordre du thriller, ainsi que les « dérives de la technologie », aussi thème très apprécié. Dans ce sens, LiS m’a un peu rappelé Star Trek. Genre, l’une des spin-offs, genre…Deep Space Nine. Ou Voyager. Anyway.

Allez, parlons donc casting.

Chez les Robinson, il y a le père, John, ancien marine; la mère, Maureen, ingénieure spatiale; la fille ainée, Judy, médecin; la fille cadette, Penny, écrivain; et le benjamin, Will, géologue et petit nerd.

John est donc incarné par Toby Stephens (le suspense était inutile, je sais bien), qui restera donc jusqu’à la fin de ses jours le Captain Flint de Black Sails, malgré que ça fait des années que je suis amoureuse de sa tronche (et de ses beaux yeux verts, saleté).

Maureen, qui fait donc partie de ces personnages insipides, est elle incarnée par Molly Parker, déjà vue dans House of Cards notamment.

Leurs enfants sont eux interprétés par, dans l’ordre, Taylor Russell (Falling skies); Mina Sundwall et Maxwell Jenkins.

Dans leur périphérie, on retrouve le mécanicien Don West, incarné par Ignacio Serricchio, qui était récurrent dans Bones; et la psychologue pas très net Dr Smith, interprétée par Parker Posey.

En bref, aimez, ou n’aimez pas, mais vous aurez sans aucun doute une opinion très tranchée sur la série. Et ça tombe bien, elle est sur Netflix.

Note: 7/10

PS: si je vous semble parfois trop « pompeuse » dans mes choix de terminologie, je m’en excuse, mais bon, j’ai étudié la littérature et ses genres, du coup, ça ressort parfois.