Les quatre membres de The Beths ont étudié le jazz à l’université, ce qui peut notamment se remarquer dans les arrangements du groupe néo-zélandais. Au-delà des similitudes que j’y trouve avec Green Day, The Beths possède une réelle fraîcheur toute personnelle, en partie due – mais pas que – à sa chanteuse Elizabeth Stokes. Derrière elle, les chœurs des autres membres du groupe ajoute à la symbiose des musiciens, et dès lors à notre plaisir.
Inutile de m’étendre davantage : Future Me Hates Me est un plaisir assez extatique qu’il est difficile d’arrêter en cours de route. En tout cas, cela faisait longtemps qu’un groupe de pop-rock ne m’avait autant procurer de plaisir. Je me trompe peut-être mais j’ai presque l’impression que cela remonte à un certain Warning en 2001…
(in heepro.wordpress.com, le 23/08/2018)
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