'Je pense qu'un écrivain doit dégager le sens de toutes les rencontres et des documents que le hasard lui apporte.' Ce recueil de nouvelles, publiées quelques mois avant la mort d'Eugène Dabit en 1936, est une série de portraits de gens simples tels qu'il les aime. Il ajoute aussi quelques pages très personnelles sur sa jeunesse en 1914-18. 'Train de Vies' est suivi de 'Velázquez', seconde partie de son essai consacré aux Maîtres de la peinture espagnole. Des pages critiques étonnamment contemporaines. Histoire de se souvenir qu'avant d'être écrivain, Eugène Dabit a été peintre.