Un podcast, pour partager avec vous, l'aventure que je m'apprête a vivre en dehors de nos frontières françaises. Je pars 15 Jours en Angleterre pour perfectionner mon anglais.
Salut les créatifs et bienvenues dans ce nouveau podcast des entrepreneurs. Je suis vraiment hyper content de vous retrouver ici, plus j'avance dans les renseignements, dans le montage, dans cette pratique du podcast et plus je suis en train de tomber amoureux de ce truc-là.
Et vraiment merci d'avoir fait quelques retours sur les premiers épisodes, alors on ne s'attendait pas à avoir autant de vues, mais en tout cas ce qui compte, c'est qu'on ait écouté et merci en tout cas à ceux qui nous accompagnent pour ce début d'aventure.
Je me présente, c'est Céline et Guillaume Manceron, on a une activité photographique à Osny dans le Val-d'Oise, et aujourd'hui j'avais envie de vous parler d'un sujet qui n'a rien à voir avec ni la photographie et très peu avec l'entrepreneuriat.
C'est tout simplement mon séjour en Angleterre que je vais passer d'ici... Bah maintenant là j'enregistre ça, on est trois jours avant mon départ. Pour la simple et bonne raison, c'est que je pars là-bas affiner mon anglais, donc je pars dans une école qui s'appelle Stafford. Je pars 15 jours en immersion totale en mode étudiant, donc je retrouve une chambre d'étudiant. Donc qui fait 9 m² toilettes et douches incluses. Mais ce n'est pas ça qui compte pour moi, c'est affiner mon anglais.
Je n'ai pas un niveau aujourd'hui excellent, j'ai un niveau que j'appelle de débrouille, c'est-à-dire que vous me lâchez dans la nature au bout de l'Eurostar, je devrais arriver à manger, trouver des toilettes, parler anglais en tout cas pour la direction et m'héberger.
Donc à première vue je ne passerais pas un mauvais séjour. Je vais là-bas tout simplement pour dépasser ce stade-là, c'est-à-dire dépasser l'anglais conventionnel, c'est-à-dire d'où est-ce qu'on vient, ou est-ce qu'on va, ce qu'on fait... Je veux passer un stade au-dessus, pourquoi ? Je vais vous raconter une anecdote que je raconte maintenant de plus en plus. C'est qu'il n'y a pas très très longtemps on est parti aux États-Unis avec Céline en voyage avec les enfants, on a fait la cote ouest une deuxième fois.
Et on était à la station-service pour faire le plein. Alors ils n'ont pas les mêmes tailles de réservoir alors ça prend beaucoup plus de temps de faire le plein, et il y a un Américain à côté de moi qui commence à discuter et qui me pose cette légendaire question qui est d'" où est-ce que je viens ? " et on passe un petit moment à discuter tranquillement, et en fait je me suis retrouvé bloqué. C'est-à-dire qu'on avait dépassé l'anglais conventionnel.
Et il était en train de m'expliquer, et là il faudra saluer Céline, il était en train de m'expliquer qu'il partait à San Francisco pour la simple et bonne raison de passer du temps avec sa fille et être à Disneyland.
Alors Disneyland là-bas ce n'est vraiment pas le même prix qu'en France, déjà que je trouve que c'est hors de prix pour le marché français, mais là-bas ce sont des prix entre 100 et 119 $, c'est très très cher. Et sa fille, ça fait des années qu'elle en rêvait, et j'avais plein de questions à lui poser là-dessus, parce qu'on avait dépassé cet anglais conventionnel. Et je me suis retrouvé bloqué.
Alors à ma défense ça faisait deux/trois jours qu'on était arrivé aux États-Unis donc il fallait un peu qu'on reprenne le rythme de la langue parlée. Donc on a galéré un peu à aligner trois syllabes correctement et voilà : je me suis retrouvé bloqué, ça m'a vraiment frustré. Et je suis revenus en France après, j'ai dit à Céline " c'est très simple : stop. J'arrête les conneries, je me mets sérieusement à l'anglais et il faut que je trouve une solution. Comme beaucoup j'ai installé toutes les applications sur Smartphone qui existent : Babel, Memorize, DuoLingo, le dernier je m'en souviens plus, bref. Mozalingua !
Donc voilà je commence à refaire mon vocabulaire, je me rends compte que finalement le vocabulaire c'est pas le problème. Et je me suis rendu compte plus tard que le problème c'était la grammaire, mais ça, on en parlera peut-être tout à l'heure.
Donc je bosse ce truc-là, et à un moment on rencontre une amie dans le Val-d'Oise qui me dit "écoute, moi j'envoie ma fille là-bas, à Stafford, à Boston." Alors moi Boston ça fait un peu loin puis les États-Unis j'ai eu un peu ma dose en ce moment.
Alors je dis on va regarder, et puis le prix du billet d'avion était aussi... Et puis que Céline était un peu jalouse de pas pouvoir venir avec moi, mais bon.
Alors je rajoute tout ça parce qu'elle me fait des grands signes en fait, en off, que vous ne pouvez ni entendre ni voir, mais bref.
Je regarde Stafford et vraiment je tombe amoureux du principe. Le principe c'est très simple on part en mode étudiant, tous les âges sont acceptés, du 18 ans a pas d'âge maximum, moi j'ai quand même 34 ans, 33 ans. Et je commence à regarder un petit peu et il y a plusieurs écoles dans plusieurs territoires aux États-Unis, il y en a au Canada, il y en a à Londres et pour le coup moi je vais à Londres.
Et en fait ils ont une formule très simple, c'est-à-dire qu'on fait... Donc c'est des cours, on choisit différents niveaux, et on va tout simplement bosser pendant 30, 35, 40, 45 heures par semaine son anglais.
Et j'ai beaucoup de chance c'est que cette année je peux accéder à ce support. Donc déjà 1) parce que j'ai quand même une vie de famille à côté, donc je peux quitter ma famille 15 jours pour aller perfectionner mon anglais. Et c'est surtout vraiment que j'en ai besoin, c'est-à-dire que j'ai vraiment vraiment besoin d'aller affiner mon anglais là-bas, pour des milliards de raisons parce que je commence à lire de plus en plus de livres, enfin non, j'écoute de plus en plus de podcasts en anglais.
J'écoute de plus en plus de TedX en anglais, et j'en ai marre tout simplement d'avoir une partie sous-titre qui sont en anglais ou en français en fonction de ce qui est disponible, j'en ai marre de ça, et je veux pouvoir dépasser le simple anglais de présentation et pouvoir tout simplement échanger autour d'un café avec un groupe de personnes, pouvoir discuter un petit peu avec ces gens-là.
C'est un sacré taffe qui m'attend, et je ne cache pas que je suis un peu stressé parce que finalement on y va vraiment pour bosser. À première vue je vais faire en sorte de ne pas trainer avec des Français là-bas.
Donc rester avec en tout cas des étrangers, donc ça peut être des Turcs, des Belges, des Américains, bref. Bon peut-être pas des Américains pour apprendre l'anglais, c'est un peu débile. Mais alors voilà il va y avoir tout plein de people qui va venir là-dedans. Et mon but là-dedans, moi tout simplement c'est de pouvoir affiner on anglais clairement.
Et moi je voulais vous parler de ça déjà de 1) parce que ça me tient énormément à cœur de pouvoir vous faire partager ça quand je serai là-bas, donc déjà au moins vous avez l'introduction du projet. Je pense que vous recevrez ce podcast-là quand je serai dans le train.
Et ça incite un peu à faire réfléchir sur : même à 33 ans 1) on peut retourner à l'école, ça, ce n'est pas la question, mais 2) on peut aussi s'autoriser à atteindre des rêves ou des souhaits qu'on avait.
L'anglais moi je n'ai pas vraiment été hyper gâté à l'époque des profs. Alors soit c'est les profs soit c'est moi qui n'étais pas enclin à comprendre que l'anglais c'était important, mais aujourd'hui c'est un fait l'anglais c'est important.
Et je veux vraiment insister sur le fait que je n'en ai pas besoin aujourd'hui ni pour développer mon entreprise, ni pour développer mon studio, ni pour continuer à croître. J'en ai juste pour moi, c'est juste une envie personnelle.
Et c'était important pour moi de partager ça avec vous, de pouvoir continuer à avoir des envies personnelles. On n'est pas obligé de dire "bah je ferai ça plus tard" ou "je ferai ça quand je serai vieux". Non on peut très bien se dire "je le fais maintenant", c'est-à-dire que ça marche aussi bien pour la photo : vous voulez vous mettre à faire de la macrophotographie, vous n'en avez jamais fait, vous avez peur de vous planter, eh bah on y va.
Je peux vous garantir qu'aujourd'hui c'est dans cet état d'esprit que je suis, c'est-à-dire que je me suis dit "je vais sûrement me planter à parler anglais", en plus j'ai fait des tests, et clairement il y a un vrai problème de grammaire dans mon cas.
Alors je suis désolé je suis un peu en extérieur donc c'est pas bien grave vous aurez un peu de bruit de fond. Donc j'ai clairement un problème avec la grammaire en anglais et ça, c'est ce qu'on va essayer de résoudre. On va voir comment ça se passe à l'oral. Si demain, pour calquer ça à la photographie, si vous avez peur de vous planter, franchement, allez-y plantez-vous, d'accord, faites des photos.
Fait encore une fois, c'est ce que je disais dans l'épisode précédent, des essais/erreurs. Moi en tout cas ce qui va se passer c'est que je vous invite à me suivre 1) sur Instagram parce qu'évidemment je vais partager beaucoup de choses sur Insta et surtout beaucoup de Stories sur ce déplacement en Angleterre. Donc je pense que déjà il y aura des Stories qui existent à l'heure où vous écoutez ce podcast.
Donc je vous rappelle mon compte c'est Instagram/Guillaumemanceron et 2) je pense que je ferai des podcasts là-bas pour un petit peu partager avec vous mon ressenti sur place. Comment je le vis ? Et éventuellement répondre à vos questions pour ceux qui seraient intéressés tout simplement de se mettre à cette langue-là ou à n'importe quelle langue ou à n'importe quel projet personnel que vous avez décidé de retarder au maximum, mais qu'aujourd'hui vous avez vraiment envie de lancer.
Je vous dis à très bientôt, c'était Guillaume pour le blog photopassion.fr et je suis vraiment hyper content d'être dans vos oreilles aujourd'hui, je vous dis à très bientôt. Ciao ciao.