En attendant Bojangles – Olivier Bourdeaut

Quatrième de couverture :

Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.
Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C’est elle qui a adopté le quatrième membre de la famille, Mlle Superfétatoire, un grand oiseau exotique qui déambule dans l’appartement. C’est elle qui n’a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.
Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.
L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.

L’optimisme des comédies de Capra, allié à la fantaisie de L’Écume des jours.

Toutes les critiques sont unanimes sur ce livre… Et du coup, j’avoue avoir du mal à oser le dire : il est pas mal mais bon… Pour moi, les personnages manquent de profondeur, manque de ce je ne sais quoi qui fait que l’on s’attache à eux. Toute la mécanique du récit est extrêmement bien construite, une sorte de parallèle entre le monde d’aujourd’hui et la fantaisie… Mais voilà, il me manquait un peu de profondeur, quelques pages qui m’auraient permis de m’attacher aux personnages.