Ces obligations demeurent plus que jamais valables. A nous, simples citoyens de les connaître et de les faire connaître histoire de montrer que « le droit protégeant les gens dans la guerre » – ceux qui ne combattent plus et ceux qui ne combattent pas – est également l’affaire de tous.
Ainsi donc, et imaginant Sisyphe heureux, joyeux anniversaire aux droit international humanitaire ! A voir ou revoir le témoignage de René-Jean Wilhelm, l’un des co-rédacteurs des Conventions de Genève.