De plus en plus de données récoltés par nos sondes convergent vers une (vaste) présence d’eau liquide sous la surface martienne. Peut-être des formes de vie microbiennes existent-elle, mais en aucun cas des poissons, des écrevisses ou des méduses. Il faut en effet savoir que la vie aquatique sur terre s’est développée grâce à un apport considérable en lumière et en énergie solaire, ce dont l’eau liquide martienne est privée.
Même constat pour certaines lunes du système solaire comme Encelade, Titan ou Europe. C’est pourquoi, je braquerai mes yeux très loin de là vers un autre système stellaire, pour trouver la vie avec des formes complexes multicellulaires. Le reste de la voie lactée, plus qu’immense, demeurant largement inexplorée.
Pour que la réalité puisse rejoindre la science fiction avec des créatures effrayantes ou des petits hommes verts, je tablerai sur un rayon de plusieurs milliers d’années-lumière. Les quelques systèmes stellaires ayant été découverts dans le voisinage comme Gliese 581 ou Alpha de centaure sont probablement des candidats à éliminer. Même si de nombreuses informations restent à confirmer en raison de l’incertitude des données.
Quand notre technologie le permettra, espérons le plus tôt possible, les chercheurs pourront observer plus loin et plus minutieusement l’espace. Mais trouver une planète abritant des formes de vie similaires à celles que nous connaissons, sera comme chercher une aiguille dans une meule de foin. Mais ce n’est pas cela qui pourra décourager les recherches, car un jour sera probablement donné la possibilité à chacun de fouiller la galaxie.
Il faut savoir également que pour une bonne partie des astres de notre galaxie, cette vie là éventuellement dotés de civilisations intelligentes, n’existe pas actuellement mais a déjà existé dans le passé ou bien est à venir.
C’est pourquoi le nombre d’astres hébergeant la vie ne doit pas être évalué seulement dans un volume mais en quatre dimension, c’est à dire dans un intervalle de temps donné.