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Tout vient à point...

Publié le 08 juillet 2008 par Cecile Berthelon @walinette

... à qui sait attendre.

Et bien jamais proverbe n'aura été si bien vérifié.
Cela fait quasi 1 an, que je zieute à fréquence constante des escarpins à noeuds Anabel Winship sur le Bazar Parisien. Collec de l'hiver dernier. Partis de 219 euros, ils ont été soldés une première fois jusqu'à 110 euros. Pas mûre, je laisse passer.
Puis ils reviennent dans la case invendus, à savoir les "Cheap and Chic". à 150. grumpf.
A ce moment sachez qu'il ne reste qu'une paire en 37, ce qui je le rappelle est justement ma taille.
Le remord m'étreint.
Mais tout de même, comment payer une telle somme alors qu'on les a laissé passer pour 40 euros de moins ??
Reviennent les soldes, rebelote 110. Re-grumpf
Et voilà t-y pas que je reçois un mail m'annonçant les deuxièmes démarques..

Les cherchez pas, la dernière paire - en 37 je me répète - vient d'être vendue... L'effet psychologique du passage à 2 chiffres.

Par contre, en fouillant dans ce fameux rayon chaussures, vous trouverez pas mal de Yurkievich ou d'Erotokritos, hyper belles pour une centaine d'euros, soit 60% de réduction.
Comme d'hab, moi je dis ça...
Je ne dis rien.

Goodie Bag : Hier soir, on a fait des madeleines. Ca nous a pris, comme ça. Et bien c'est d'une facilité déconcertante. Enfin du moment qu'on a le moule flexipan qui va bien. Faut juste penser à ne remplir les trous qu'à moitié.
Je sais : rien à voir avec le schmilblick. C'est juste que même si je me gave de madeleine, je pourrais toujours rentrer dans mes pompes...
Je me tâte juste à faire une prochaine fournée de madeleines fourrées au Nut', ça doit être une tuerie ça...


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