L’amour s’est arrêté chez nous
Et il a demandé asile
Il était frêle et bien chétif
Et son regard était si doux
Porteur des palmiers bleus des îles
De lunes bleues et de récifs
Il était frêle et bien chétif
Et son regard était si doux
Il a pris pied sur ma presqu’île
Abandonnant son frêle esquif
Et je me suis mise à genoux
Caressant des rêves fragiles
Porteur des palmiers bleus des îles
Et d’un bonheur trop fugitif
Il a comblé mes espoirs fous
Inondant d’un parfum subtil
Mon âme nue, mon cœur captif
Je l’ai suivi à pas de loup
Isabelle Fable
Partager cet article
Repost 0 &version; Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :Vous aimerez aussi :
Un autre répit Enfin, la pluie ! Sur le livre d'une auberge Ah bien c'est du joliPoètes D'aujourd'hui
« Article précédent