Dans mon enfance, il y a toujours eu un potager au fond de notre jardin. Mes grands parents cultivaient également des légumes dans un coin de leur cour-jardin.
Incontournable, la culture des légumes permettait de faire des économies et les saisons étaient rythmées par les travaux de jardinage.
Mon père m'avait donné une toute petite parcelle de terre à la limite de la cour gravillonnée. J'y avais dessiné des allées bien droites et j'avais planté le reste des sachets de graines de carottes et de salade dans la terre que j'avais retournée avec mon petit râteau. Chaque jour je surveillais la germination, j'arrosais comme j'avais vu faire, avec l'espoir de récolter, moi aussi, mes légumes. Et j'étais fière du résultat ! Chez mon grand-père paternel, je ne faisais qu'admirer les lignes de poireaux, de salades, de carottes, de cornichons, d'oignons et d'ail, et tout ce qu'il avait planté.
Dans mon enfance, il y a toujours eu un potager au fond de notre jardin. Mes grands parents cultivaient également des légumes dans un coin de leur cour-jardin.
Incontournable, la culture des légumes permettait de faire des économies et les saisons étaient rythmées par les travaux de jardinage.
Mon père m'avait donné une toute petite parcelle de terre à la limite de la cour gravillonnée. J'y avais dessiné des allées bien droites et j'avais planté le reste des sachets de graines de carottes et de salade dans la terre que j'avais retournée avec mon petit râteau. Chaque jour je surveillais la germination, j'arrosais comme j'avais vu faire, avec l'espoir de récolter, moi aussi, mes légumes. Et j'étais fière du résultat ! Chez mon grand-père paternel, je ne faisais qu'admirer les lignes de poireaux, de salades, de carottes, de cornichons, d'oignons et d'ail, et tout ce qu'il avait planté.