Le haut-royaume : Le roi – l’épopée continue

Cette critique contient des spoilers si vous n’avez pas encore lu la saga.

J’attendais la suite de la série du Haut-royaume avec impatience, cette fois je n’ai pas eu le courage d’attendre la sortie de la version poche et me voilà avec une  belle édition grand format avec une belle couverture rigide. Depuis le premier tome, Le chevalier, j’ai eu un véritable coup de foudre pour cette série. Mais surtout pour Lorn le héros à la part sombre qui est clairement un des points forts du récit. Sombre, énigmatique et pourtant charismatique, il était moins présent dans le second laissant sa place à Alan, mais cette fois tout le roman lui est dédié.

Après la mort du Haut-Roi, s’ensuit une période de deuil pour le Haut-Royaume – période durant laquelle les complots se trament et les dagues s’aiguisent avant l’ouverture du testament royal. Le prince Yrdel, héritier légitime, et le prince Alan, soutenu par la reine et son frère le prince-cardinal Jall, se disputent déjà le trône en coulisses. Comme ils se disputent les faveurs de Lorn, capitaine d’une Garde d’Onyx de plus en plus puissante et influente…

De son côté, Lorn poursuit comme toujours ses propres objectifs tout en semblant servir le Haut-Royaume. Et quand la Guerre des Trois Princes éclate, il pourrait bien être celui qui apportera la victoire…

Les complots politique sont le principal intérêt, Lorn découvre aussi qu’il est père ce que nous lecteur avions découvert à la fin du précédent volume.

Ce troisième tome se lit vite, la lecture est aisé et l’écriture fluide. Les chapitres sont très courts

C’est donc avec un plaisir non dissimulé que j’attends la suite, le tome 4, qui devrait paraître l’année prochaine. Pierre Pevel démontre encore tout son talent de conteur.