J'ai l'habitude de publier mes photos sur Google+. On peut y trouver presque tous mes albums. Ce que je regrette, c'est qu'on ne puisse y ajouter de commentaires. Or, si les photos d'art se passent de texte, les photos de voyage méritent parfois une ligne d'explication. Raison pour laquelle je publie mes dernières photos d'Indonésie sur ce blog, en petit format. Mais franchement, elles gagneraient à être regardées dans un format décent. Voici le lien sur Google+.
La femme fait sa lessive dans le lavoir du village, construit sur un rocher. La vue est agréable. Il y a un an, juste à côté, on trouvait les WC publics sur pilotis et de l'extérieur, on pouvait voir tomber les déjections dans la mer...
J'ai compté : une bonne semaine consacrée à décorer le bateau. C'est bon pour le moral. Mais l'argent pendant ce temps ?
Très mystérieux. Je ne sais toujours pas ce que c'est. Une mosquée ? Un palais ? Et le pêcheur ? Un djinn ?
Les élégantes peintes sur l'autocar se moquent de l'ouvrier qui chancelle... ou leur meule les fesses avec sa tronçonneuse !
Une jolie maman... mais de quel âge ?
Quelque chose de graphique, mais aussi d'irrespectueux dans ces doigts tendus de cadavres.
Comme la jeune bourgeoise a l'air concentré en regardant les colliers que lui présente le commis bijoutier !
Dames du grand bazar. Plus coloré que chez Flunch.
Lui aussi je l'ai vu au bazar. Intrigué par son air totalement absent, je l'ai suivi, déambulant hagard entre les étals.
Pots d'échappement. Ça m'a rappelé la salle d'opération de mon père quand il faisait de la radiologie interventionniste : aux murs, des cathéters de tous diamètres et de toutes formes pour épouser l'anatomie vasculaire.
Transport en commun : hommes et femmes sont mélangés, ce qui n'est pas toujours le cas.
Mariage. Lui fait bonnard, mais la daronne n'a pas l'air baisant ! Si on regarde attentivement, on voit qu'elle a (en blanc) la même coiffe que la mauvaise fée de Blanche-Neige version Disney. Ça fait peur... Pourvu qu'il ne soit pas veuf avec des enfants !
L'orgue de Staline de la pêche à la ligne. Détail délicat : les manches des cannes sont des pieds de chèvres.
A quoi peut rêver une jeune fille musulmane, qui porte le voile même dans sa chambre ?
Dans un village perdu : une fois n'est pas coutume, j'ai senti des regards hostiles. La corne de la petite fille en dit long...
Ils n'ont quand même pas inventé le moteur à air...?
Il habite un genre de cabane tout près du centre ville dans un trou de verdure.
Vous attendez quelqu'un ?
Dans un Indomaret, la jolie vendeuse m'a trouvé ce que je cherchais : kacang ijo, du jus de haricot vert. Il y a aussi la version petits pois. Les deux sont (trop) sucrés et vendus au rayon jus de fruits. On sent vraiment le goût légumineux - très rigolo !
Paris, août 1792 : on pend des aristocrates à la lanterne, on leur coupe la tête, on l'accroche au bout d'une lance. Les islamistes n'ont pas fait pire. Pourquoi ce souvenir devant les mannequins sinistres plantés sur leur piquet ? Le nom ARI...?
Le dernier repas du condamné... à quitter le pays ! Mie Goreng et thé au jasmin à volonté dans une belle bouilloire. Pour une fois (c'est rare en Indonésie) il y a de quoi s'essuyer : le rouleau de PQ dans la boîte blanche. Le tout pour moins d'un euro.
Aéroport de Jakarta. Ah ces gamines scotchées à leur téléphone !
Je remets le lien vers les photos en plus grand au cas où... So long Indonesia !