Le plus facile à comprendre et à traiter est le flux migratoire économique, basé sur le transfert de compétences qui sont en demande dans certains pays. Cela devrait également inclure les personnes désireuses de payer un prix d'entrée élevé.
Bien que je sois totalement favorable à ce que les gens se rendent dans un pays en fonction des compétences recherchées, une meilleure façon de traiter avec les demandeurs d'asile serait de s'attaquer au problème avec tous ces pays qui où les droits humains sont bafoués, ceux qui font l'objet de conflits et partout où le tissu social et économique est en lambeaux.
Les pays les plus riches ont la responsabilité de remédier à ces déséquilibres. Le regroupement familial a du mérite mais doit être limité à un minimum.
L'immigration clandestine, bien sûr, n'est pas acceptable et devrait être vigoureusement combattue à moins qu'elle arrange certains pays qui on ainsi la possibilité de fermer leurs yeux sur l'exploitation humaine qu'elle peut engendrer.
Comme dans tous les autres domaines, il faut rechercher et étudier les meilleures pratiques, en comparant les différentes politiques d'immigration du monde entier et en élaborant des compromis raisonnables et bien testés.