Peut-on essayer de mettre en évidence l'existence ou la non-existence d'une force cachée qui serait responsable de la désintégration.. ?
Pour moi la réponse est à chercher "de quel côté de la catastrophe ultraviolette on se trouve"
. Curieusement, comme par correspondance avec cette catastrophe, il y a une rupture de progression catastrophique évidente
entre "la gauche" et "la droite" de la longueur d'onde de 1 micromètre sur le tableau des longueurs d'onde électromagnétiques (pile poil sur la barre entre les ondes radioélectriques et les infrarouges).
Voici un agrandissement de la zone "catastrophique" sur le spectre, qui passe brusquement en fréquence de 300 Gigahertz à 100 Térahertz et en longueur d'onde de 1 mm à 5 micromètres.
Et ci-dessous comment la progression des domaines du spectre EM devraient être montrés, avec - à la place du y- la position exacte de la densité du vide (c²) et de l'inversion entre "émission" et "absorption" d'énergie.
A gauche, nous avons le domaine où la densité d'énergie des ondes EM est inférieure à la densité du vide (c²), et à droite où elle est supérieure.
La radioactivité se trouve très à gauche ..du côté gauche des domaines du spectre EM: cela induit un comportement "incandescent" extrêmement puissant, non pas dans l'émission radioactive d'une particule qui exploserait, mais bien dans ce qu'il faut apeller "l'absorption" radioactive des autres particules qui implosent autour d'elles.
La racine de cette densité (en vit²) dont nous venons de parler, correspond bien d'ailleurs à la formule de Max Planck, qui semble être une vitesse à une dimension.
A propos d'incandescence, nous avons par ailleurs celle des braises du charbon, qui est celle des infrarouges, et qui a apporté énormément de
plaisir aux enfants qui se chauffaient et regardaient, fascinés, le charbon disparaître dans les feux convecteurs.