Le stockage souterrain de CO2 est une alternative quasi obligatoire à la diminution des émissions de CO2 dans l’atmosphère, sauf à mettre un terme à l’expansion économique, ce qui est inacceptable par les pays en voie de développement et difficile à faire admettre par les pays dits riches.
Le projet allemand rassemble neuf pays, dont la France et un consortium industriel pour un besoin de financement estimé à 35 million s d’euros dans le but de d’expérimenter cette technique qui n’est qu’à ses balbutiements et qui consiste à injecter du CO2 dans d’anciens gisements d’hydrocarbures, arrivés en fin d’exploitation.
L’expérimentation en question doit permettre d’observer si le gaz injecté ne remonte pas à la surface et, si c’est le cas, en quelle quantité à quelle vitesse, en sachant que ce sont les gisements de gaz, comme le gisement de Lacq en Aquitaine qui offre les meilleurs garanties d’étanchéité.