Le débat qui couve depuis des années a été relancé par le suicide d’une septuagénaire sans problème de santé particuliers mais simplement las de la vie, qui a bénéficié des conseils, d’un partisan de l’euthanasie et qu’une association suisse d’aide au suicide qui offre conseils et assistance active aurait déjà accepté d’aides des Allemands à mourir.
La chambre haute du parlement allemand qui représente les régions, les Länder, a approuvé une résolution demandant que l’assistance organisée ou commerciale au suicide soit désormais punie par la loi et les élus du Bundesrat, les députés ont renoncé à se prononcer sur un texte, faute d’accord sur les modalités sur lesquelles ils devaient statuer.
En Allemagne, le suicide n’est pas interdit, mais le souvenir des pratiques eugéniques du nazisme, qui se sont soldées par la mort de quelque 100 000 personnes, est encore présente, ce qui rend cette approche particulièrement délicate.