Encore une lecture faite via Netgalley. Sa couverture entrainante et son titre m’ont fait craquer… Je me suis dis « Chouette, un livre qui sent bon le girl-power! »
Ou pas.
De quoi ça parle?
Agathe, mariée, deux enfants, working-girl aux quatre-cinquièmes, pourrait passer pour l’archétype de la bourgeoise de l’ouest parisien que rien n’émeut. Pourtant, il suffira d’une vitre de voiture fracturée, d’une épiphanie devant un épisode de Grey’s anatomy, de quelques Xanax et d’une rencontre à un vernissage pour que son savant équilibre vacille…
Et si elle avait manqué son destin ? Et s’il n’était pas trop tard pour s’improviser femme fatale, chanteuse de karaoké ou mère Teresa ? Rattrapée par ses rêves et ses névroses ordinaires, elle raconte l’histoire d’un fiasco qu’elle espère salvateur et qui la conduira, à coups de Martini on the rocks, de variété française, de conversations délurées entre amies et de scénarios échafaudés dans ses moments de solitude, à réinventer sa vie.
Tour à tour tendre, drôle et désespéré, La Vie sauvage des femmes est une ode à la femme d’aujourd’hui, à l’autodérision, à la fausse désinvolture et à l’imaginaire qui sauvent de tout.
Mon avis:
Un livre sans grand intérêt, que j’ai lu sans réel plaisir…
Une quinquagénaire qui se plaint de sa vie… Gérer les enfants? Trop fatiguant. Cuisiner pour la famille? Pas assez gratifiant.
Rah, non merci. Je n’ai vraiment pas su me plonger dans ce roman. On comprend que l’héroïne parle avec un psy, qui sort d’on ne sait ou et on ne sait même pas pourquoi elle vient le consulter mais bon… J’en ressors avec l’impression d’avoir lu une roman d’une personne qui ne fait que se plaindre.
Usant.
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