Deux semaines après le marathon de Prague, je retrouvais le plaisir d’accrocher
un dossard et surtout celui de courir avec les copains, le projet n’étant pas
de réaliser une performance mais de me faire plaisir sur un parcours agréable à
souhait non sans sa part de difficultés.
La présence en force de « Courir à Peillon » ne pouvait qu’augmenter
mon plaisir, de juniors à vétérans, plusieurs