Résumé : Pour survivre à la famine qui sévit, Ivar, Kaya et Oswald n’ont pas d’autre choix que de braconner. Mais le Jarl, le maître des terres, les surprend. Dans l’échauffourée qui s’ensuit, il tombe de la falaise et perd ses deux jambes. Ivre de vengeance, il lance ses Walkyries à leur poursuite. Arrêtés, jugés, les trois pauvres hères ne doivent leur survie qu’à la cruauté du Jarl : il les condamne à se transformer en monstres, à devenir trois de ses fidèles berzerkirs. Il leur reste sept jours d’humanité. Sept jours pour trouver le roi des fauves, le seul à pouvoir les arracher à leur funeste destin.
Avis : Iva, Kaya et Oswald sont des amis d’enfance venant d’un petit village. Un jour ils partent braconner et vont plonger la tête la première dans les ennuies. Ils vont être transformé en berzekirs suite à cela et vont essayer de trouver le roi des fauves pour annuler cette transformation.
C’est une histoire intéressante et plutôt prenante, un jeu de course, car ils n’ont que sept jours avant la transformation définitive. Il faut que les trois amis se dépêchent de trouver le roi des fauves, et leur chemin sera semé d’embûches. Malgré un début que j’ai trouvé un peu lent, j’ai été vite prise dans l’histoire, entrainé avec Ivar et ses ami.e.s dans l’aventure. J’avais peur pour eux et peur avec eux. On se trouve surtout dans la tête d’Ivar et on l’encourage à garder le contrôle jour après jour. Je me suis beaucoup attaché à Ivar d’ailleurs, et j’ai bien aimé Oswald. J’ai eu beaucoup plus de mal avec Kaya qui m’a pas mal énervé. Leur amitié à tous les trois m’a beaucoup touché, et j’ai eu très peur avec eux et pour eux qui subissent ces changements dans un endroit qui est tout, sauf accueillant.
J’ai bien aimé ce qu’il se passe, les retournements de situation, les choix d’Ivar. J’ai vraiment admiré sa force de caractère. Le style d’écriture est fluide, les chapitres s’enchaînent facilement. La fin m’a vraiment plu.
En bref, j’ai beaucoup aimé ce livre même si j’ai eu un peu de mal à rentrer dedans au début, une fois embarqué dans l’aventure, c’était difficile de le lâcher.
La dédicace :