Good moooooorning blogooooo!
(Hommage et celui qui ne comprend pas vient chercher sa baffe)
Aujourd’hui et comme tous les mois, voici la review du film James Bond du moment (ou plutôt d’il y a 22 ans, mais chut), et cette fois, on va parler de celui qui sera très longtemps resté mon préféré… C’est la faute à son réalisateur.
Je spoile!
Au cours d’une mission périlleuse, 006 est assassiné par le Général Ouroumov devant 007. Pour venger son ami, il va donc devoir enquêter sur la disparition des codes d’activation d’un satellite armé, Goldeneye…
Pierce Brosnan a été mon premier Bond. Celui par qui tous les autres ont été jugés, et cela pendant des années (et avant que je ne tombe sur Timothy Dalton et sois perdue à jamais). Goldeneye est pour moi le meilleur des quatre opus de Pierce, même si celui dont on parlera dans deux mois est vraiment bon aussi.
Il apparait donc que Goldeneye est génial, mais pourquoi? Brosnan détone par rapport à ses illustres prédécesseurs, moins athlétique, plus drôle et l’œil qui pétille. Son entrée fera date d’ailleurs.
Et puis il y a le réalisateur. L’un de mes préférés d’ailleurs, qui m’offrira par la suite deux de mes films cultes (en plus de celui-ci donc): Mask of Zorro et Casino Royale… Martin Campbell, je vous aime un truc de ouf.
Il filme de manière décomplexée un Bond qui l’est tout autant, et entouré d’un casting de foufi qui m’aidera par la suite à former une obsession pour un certain acteur dont je vais reparler fissa.
Juste le temps de trouver des défauts au film et de citer cette enième Bond Girl qui ne sert strictement à rien et qui m’aura énervée pendant tout le visionnage…
Pierce est donc secondé par une nouvelle M, féminine et c’est tant mieux, incarnée par la génialissime Dame Judi Dench, qui était vraiment parfaite pour ce rôle de mère adoptive de l’agent secret.
On notera aussi que Samantha Bond, qui n’aura jamais aussi bien porté son nom, incarne une Moneypenny elle aussi décomplexée dans sa répartie, et quand je la retrouverai dans Downton Abbey je vous laisse deviner mon amour instantané pour Rosamund…
Parmi les seconds rôles, j’épinglerai Gottfried John (le meilleur César de tous les temps) en Général Ouroumov; Famke Janssen qui ne me fera jamais aussi peur en Jean Grey; ou encore Alan Cumming que j’aime d’amoooooour!
Et Tchéky Karyo parce qu’à partir de là je suis devenue obsédée par sa voix… C’est dit.
Reste à citer la bonne surprise du film, 006, incarné par Sean Bean, qui après cela gagnera sa réputation de poissard des films. Mais honnêtement, dans le genre méchant, seul un certain Robert Carlyle arrivera à le surpasser deux films plus tard…
Bref, Goldeneye pendant longtemps est resté tout là-haut dans le panthéon de mes Bond préférés, et ce n’est que quand Martin Campbell nous est revenu qu’il a été détrôné, mais on en reparlera une autre fois!
Note: 8,5/10 (scénario: 8/10 – jeu: 9/10 – BO: 9/10 (Mrs Turner merci, voici une autre chanson culte!) – esprit Bond: 8/10)