Magazine Culture
Il fallait que cela se fasse.
Rompre enfin avec une sorte de malédiction du marathon. J’en avais commencé onze,
terminé dix, plus rien depuis trois ans à Nantes en raison de blessures à
répétition, des tendinites, des aponévroses, des bobos de sportifs, il y a plus
grave sur terre, mais bien contrariants cependant.
Depuis Nantes en 2015 (en mon
deuxième meilleur temps), les déboires se