J'ai aussi eu un échange de courriels fort positifs avec mon président, lui aussi éprouvé par diverses situations personnelles ces derniers temps. La boucle se referme pour lui en laissant en dehors le négatif et j'en suis bien heureuse.
On a beau ne pas vouloir influencer notre milieu de travail avec ce qu'on vit de difficile parfois mais, même à distance, cela se ressent. La seule chose à faire est d'avoir de la compassion pour soi, si c'est nous qui vivons ce moment, ou pour l'autre. Le chemin n'est pas facile parfois mais ce n'est pas en se tapant dessus qu'on arrive à sortir la tête hors de l'eau. C'est en faisant confiance qu'on va s'en sortir et en gardant toujours à l'esprit que c'est avec nos pensées que attirons ce que nous nous faisons vivre. (Je parle pour tout le monde, moi y compris !).
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J'ai eu aussi un autre cadeau aujourd'hui. Celui de voir - encore une fois ! - qu'une situation peut avoir diverses interprétations possibles : une de mes collègues, qui habite Montréal, avait pris l'habitude de venir passer 2-3 nuits par semaine chez moi pour son travail, ce que je trouvais toujours bien agréable même s'il fallait que je lui dise parfois que, le soir, on ne travaille pas mais on pense à soi, ce qu'elle avait de la peine à faire !
Cependant, depuis quelques semaines, il s'est passé des choses au travail, elle a changé de secteur puis est revenue la semaine dernière mais elle est allée à l'hôtel. J'ai eu un doute mais je ne pouvais pas lui parler, étant très occupée et elle aussi. En fait, je me suis demandée si elle m'en voulait pour quelque chose. La «maudite» culpabilité de n'avoir éventuellement pas été assez gentille et fine et blablabla ! Je ne me suis cependant pas laissé envahir du tout par ces sentiments négatifs et ai tout simplement laissé aller. La vie allait bien me donner une réponse. Je n'avais donc pas besoin de me faire des scénarios imaginaires !
Elle m'a appelée cet après-midi, toute de bonne humeur. J'étais contente de l'entendre. Elle m'a dit qu'elle venait trois jours à Québec à partir de demain et m'a demandé si ça me tentait qu'on fasse de quoi le soir ensemble. Je lui ai demandé si elle venait chez moi. Elle m'a dit que, si je lui proposais, elle viendrait volontiers. J'ai naturellement acccepté avec plaisir mais me suis quand même enquise à savoir si elle m'en voulait pour quelque chose puisqu'elle était allée à l'hôtel la semaine dernière et que je ne l'avais pas vue au bureau.
- Ben non, pas du tout ! Ta collègue (qu'elle a vue lundi dernier au bureau alors que j'étais malade chez moi) m'a dit que tu n'allais pas bien alors que je n'ai tout simplement pas voulu te déranger !
Elle ne m'en voulait pas.
Elle voulait juste ne pas me déranger...
Deux interprétations possibles d'une même situation.
La première qui amène dans la culpabilité et le négatif, l'autre qui touche au coeur...
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A voir les statistiques du blog - 14 931 visiteurs qui ont parcouru près de 45 000 pages le mois dernier - ainsi que le nombre d'abonnés qui ne cesse d'augmenter (595 à ce jour), j'imagine qu'elles sont appréciées, ce qui me rend heureuse quand je les prépare. J'espère que vous les apprécierez autant que moi qui les ai toutes lues en les tapant ce matin !
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Dès demain donc, je vais profiter de la musique en ville ! De plus, en fin de semaine prochaine, je vais aller au Moulin à Images, «un document visuel et sonore de quarante minutes projeté sur les silos à grains du port de Québec. Ceux-ci deviennent ainsi le plus vaste site de projections géantes jamais exploité (30 m x 600 m – ou quelques millions de pixels…). Cette immense structure de béton se transforme en narrateur et devient, à travers son récit, le témoin privilégié des 400 ans d'histoire de Québec».
Je vous souhaite une belle semaine, beaucoup de soleil, de chaleur douce, de paix et d'abondance !
PS : avez-vous téléchargé gratuitement le e-book de David Komsi, Le Pouvoir de l'attraction ?
Profitez'en, il en vaut la peine, et son cours Réussir, encore plus !
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