Le gouvernement sur la dette de la SNCF pratique un chantage éhonté. Emmanuel Macron dit aux cheminots « cessez votre mouvement et l’état prendra à sa charge une partie de la dette » dont l’origine tient au désengagement de l’État, alors que celui-ci verse 35 milliards d’euros pour le réseau routier privatisé qui empoche les bénéfices d’une tarification aux usagers constamment à la hausse.
Section de Sète du PCF