Pépé le pew (pépé le putois)

Macron dépeint en Pepé le Pew à la une du Daily Telegraph (Pépé le putois), un personnage de dessin animé qui incarne le stéréotype du Français pour les anglo-saxons : séducteur, dragueur, tactile, limite lourdingue

Les Australiens sont étonnés, voire choqués, que Macron ait dit au premier ministre australien : « your wife is delicious »

«Thank you and your delicious wife for your warm welcome»

Delicious est un faux ami. Ce mot ne vaut pour pour l'alimentation. Quand il sort de ce domaine, il a une connotation sexuelle... On peut traduire par « votre épouse est à croquer » et ce n'est là qu'un euphémisme de la véritable traduction...

Pour "Pépé le putois", la femme du Premier ministre est : "délicieuse"....
Quand tu n'a pas l'habitude de fréquenter des femmes.... pic.twitter.com/ZwpIZbPstU

— Stalker (@_Stalker_69_) 3 mai 2018

Macron en Australie comme aux USA devient la risée des journalistes locaux, à vouloir être obséquieux prétentieux arrogant il a lors de son discours "emprunté" le terme délicieuse à l’encontre de l'épouse du 1er ministre ce terme employé est très malvenu s'apparentant à 1 insulte

— POINTUD Pascal (@PASCALPOINTUD) 2 mai 2018

En revanche, on peut réellement affirmer que les fraises Tagada de chez Haribo le sont, "delicious" comme le montre cette facture de la campagne de macron aux Présidentielles.

18 kilos de ces délicieux bonbecs !

Du coup, j'imagine quand même que la note de dentifrice payée par le président lui même doit être assez élevée...

On en trouve des choses dans les comptes de campagne de Macron étudiés par Médiapart...
Une facture de 102 euros de bonbons chez Haribo, soit 18 kilos de fraises Tagada!
« Veuillez fournir des éléments démontrant le caractère électoral de cette dépense » a jugé la commission! pic.twitter.com/nfrEDGV8fL

— ❗️EnModeMacaron™❗️ (@EnModeMacaron) 3 mai 2018

Pour son anniversaire, Kim Jong-Un s'est fait offrir son poids en fraises tagada. pic.twitter.com/vg5lvXxn3c

— Philippe Briday #FBPE✏️ (@pbriday) 8 janvier 2018

Nous avons besoin d’un Président de la République. Au lieu de quoi nous avons un marchand de saucisses. pic.twitter.com/hJ0LuN30l6

— Adrien Quatennens (@AQuatennens) 2 mai 2018