L'impaction de l'électron et la nouvelle action de Planck

Bonjour,

Regardez l'image ci-dessus: elle représente le pic de probabilité de la présence d'un électron se présentant successivement 3 fois (on peut donc parler de pulsation) sur chaque bande orbitale [Précision: cette représentation apparemment synchrone entre bandes ne l'est pas: les électrons ne tournent pas les uns en face des autres !! Il s'agit simplement ici de montrer leur comportement sur chaque orbitale ]
Chaque portion de cercle défini voit le défilement (disons qu'il est en rotation, c'est plus facile à visualiser) de l'électron pendant une seconde; on remarque donc que sa "fréquence" est identique sur chaque portion de cercle.
Les vitesses angulaires sont identiques, elles aussi, puisque l'angle est conservé !
Mais il y a un problème: pour l'extérieur, un électron sur la bande la plus éloignée, possédant la même fréquence et la même vitesse angulaire, possède un plus grand "impact" énergétique (impaction) du à sa vitesse externe dans le référentiel.
Mais ce n'est pas tout: la différence d'impaction détermine une variation d'écart de probabilité entre ses pics de présence; celle-ci augmente au fur et à mesure qu'il s'éloigne du centre..
L'électron a donc besoin d'énergie pour exister selon l'état vibratoire limite du à son propre domaine de définition; aussi, il "appelle" un photon quand il s'éloigne du centre, afin de multiplier sa fréquence et diminuer son impaction.
On retrouve donc ceci

Les points rouges représentent l'électron dans un rythme de pics et d'écartsplus proche de son domaine de définition vibratoire
La constante de Planck h déterminerait alors arbitrairement la pulsation moyenne de l'électron, ne variant qu'à l'intérieur de 2 seuils d'existence très rapprochés.
Son potentiel, il l'avait établi en joules.seconde.

Je me rappelle avoir lu dans les conclusions mêmes des physiciens que "toute résonance n'est pas un apport d'énergie, mais que son résultat est une augmentation de l'énergie" !!

En conséquence,  l'énergie de h. nu n'est certainement pas établie en joules, mais en sec^-2;
Planck a décliné le potentiel (qui porte le nom de "action") de h en joules.seconde. parce qu'il ne pouvait imaginer qu'il existeune énergie de résonance en sec^-2*, et qu'elle est est un croisement, une multiplication de la fréquence(h)de l'électron.. en sec^-1avec la fréquence(nu)du photon incident en sec^-1également. (ou pulsation au lieu de fréquence, si on parle de pics de probabilité de présence).
L'électron Auger est émis en fonction d'une résonance parfaite entre la fréquence du photon incident et celle de l'électron à un endroit donné de l'espace et du temps (effet photoélectrique).

Il y a aussi dans le nouveau système d'analyse dimensionnelle une identité remarquable entre la dimension de la constante K de Coulomb, inversant la permittivité du vide, en

et celle de (h.nu), nouvellement identifiée ensec^-2!!