Je ne connaissais pas Dmitry Gloukhovski, ce russe polyglotte auteur de métro 2033.
Je suis toujours à la recherche de bonne science-fiction, qui n’est pas si répandue, je m’en rend compte parce que les vieux classiques ont réussi à passer le temps.
Sumerki est un roman prenant, fascinant, inlachable, entre ubik et la recherche de la cité de Z, teinté du réalisme magique de Garcia Marquez ou de Kafka.
Metro2033 imaginé le métro comme une métaphore du monde géopolitique, où l’humanité s’est réfugiée dans des stations et où seuls les stalkers se rendent en surface.
C’est un récit initiatique également.
Les vacances me permettent de découvrir ainsi des thrillers et de sortir de l’histoire, les questions sociales et la littérature mondiale, mais ce détour est intéressant.