Il pleut sur le jour

Par Bougrenette

   

Et pleure sur l’amour, couvrant d’un chagrin ce qui est vain, impuissance de l’absence, qui laisse en rideau sur trois coups d’un final fatal. Inévitable et pourtant fabuleux, qu’on croyait heureux, un rien bancale, sans moralité. La petite faiblesse, traîtresse, va te faire voir, par ailleurs, dans un monde meilleur, où les rêves et les nuits n’en finissent plus de s’étreindre sur la beauté dérisoire des lucioles d’espoirs, qui virvoltent, lubriques. Ca brille dans le noir des pupilles qu’on croise au jour tombé, lassé, laisse tomber, sans te raccrocher aux illusions dans le ton, qui s’imposent dans l’air d’un temps qui vire à l’orage.