C’est avec plaisir que nous retrouvons Lyon Béton, ici en partenariat avec le street artiste parisien LE SONNEUR ! Une collaboration inédite, dévoilée lors de la Urban Art Fair 2018, à la Galerie Frag offrant de nouvelle interprétation des oeuvres de l’artiste sur béton !
A l’honneur une table basse baptisée LOVE ME, éditée à 8 exemplaires, elle se présente sous une forme basique (simple) carré, comme délicatement emballée, protégée, par un bandeau non pas « fragile » mais ici avec un peu plus de coeur !
Un pied de nez aux « jugements » systématiques digitaux, aux besoins de réactions, d’interactions, d’intérêts, chacun recherchant étant de plus en plus besoin de démonstration d’amour, love, likes comme sur les réseaux !
L’artiste projète ses oeuvres, emblématiques, sur fond béton ! Un lien non dissimulé avec la rue, lieu de prédilection de l’artiste, le béton préserve l’aspect urbain pour une présentation condensée éphémère !
A noter : on adore toujours autant le premier projet du Sonneur, ses sonnettes, posées en ville, intrigantes, permettant d’interpeler les passants…
Plus d’informations sur le street artiste mystère : « Le Sonneur est un artiste basé à Paris. Ses oeuvres et ses installations sont visibles dans la rue et en galeries, en France et à l’étranger. Si la ville est son terrain de jeu favori, ses créations tiennent plus de l’art contemporain que du street art. Au fil de ses promenades urbaines, Le Sonneur colle des sonnettes aux portes des inconnus, de petites sonnettes rouges qui portent des noms intimes ou inattendus comme « My Love » , « Her » , « Bunny » ou « My Heroine ».
Il glisse aussi des lettres d’amour anonymes sous vos portes et dans vos boîtes aux lettres. Sur les trottoirs, il abandonne des clés aux noms d’amants imaginaires. Le Sonneur détourne aussi les accroche-portes des hôtels et les suspend aux portes de vos appartements ou de vos chambres, remplaçant les habituels « Do not disturb » ou « Make up the room » par des appels au secours ou des cris du coeur comme « Save Me », « Kiss Me » ou « Fuck Me ».
Avec ses projections vidéos dans les rues, il fait apparaître sur les murs des portes imaginaires, passages éphémères vers l’intime, qui s’ouvrent et se ferment pour dévoiler en fragments la vie d’inconnus. Avec ses dessins en rouge et noir, Le Sonneur glisse son regard indiscret dans les trous de serrures et révèle dans un jeu d’ombres chinoises d’autres vies, d’autres moments volés. »
Plus d’informations sur la collaboration : Le Sonneur, Lyon Béton
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