Quand sort la recluse

Par Darkstein

de Fred Vargas

Tout allait bien, on avait devant les yeux un bon petit roman policier, plein de fausses pistes, de flics torturés au côté sombre, des trames qui s’enchevêtrent, un commissaire aux méthodes holistiques ou peu s’en faut…

Et puis l’auteur s’emballe et nous sort un dénouement abracadabrantesque (et je vous défie de l’écrire), en rajoutant une surcouche de morbide et en exagérant le mobile déjà bien sordide du roman. Pourquoi mais pourquoi, quand le scénario initial était plausible, pertinent et prenant, pourquoi rajouter du morbide et du glauque ?

Ayant malgré tout beaucoup apprécié le style de Fred Vargas, je ne lui tiendrais pas rigueur de cette exagération.