...
Ma nuit t’espère.
Mon corps t’attend.
Ma nuit voudrait que tu reposes au creux de mon épaule et que je me repose au creux de la tienne.
Ma nuit voudrait être voyeur de ta jouissance et de la mienne, te voir et me voir trembler de plaisir.
Ma nuit voudrait voir nos regards et avoir nos regards chargés de désir.
Ma nuit voudrait tenir entre ses mains chaque spasme.
Ma nuit se ferait douce."
Lettre de Frida Kahlo à Diégo Rivera, 12 septembre 1939
Partager cet article
Repost 0Vous aimerez aussi :
Emois
« Article précédent