Magazine France
Verbatim.
Nicolas Sarkozy devant les cadres de son parti, l'UMP, samedi 5 juillet.
«désormais, on peut dire que le problème de la France, c'était qu'on ne travaillait pas assez, alors que le monde ne nous attend pas. On peut réformer profondément les 35 heures, désormais on peut faire la politique pour laquelle on a été élu»
"La Pologne doit honorer sa signature"
"Il a signé à Bruxelles, il doit ratifier à Varsovie, c'est une question de morale"
"Je suis quand même légitime en tant que président de la République française de me demander s'il est raisonnable de porter les taux d'intérêt à 4,25%"
"Désormais, quand il y a une grève en France, personne ne s'en aperçoit"