TSFA – Ces séries qui ont calmé mon addiction.

Salut à tous !

Aujourd’hui, la jolie Téqui nous a encore trouvé un sacré défi : il est question des limites de l’addiction à une série. Pour certaines séries, on s’accroche (et on s’emprisonne…) parce qu’on aime les personnages, parce qu’on attend la fin désespérément. Il y a de multiples raisons pour lesquelles on les regarde, mais ce n’est plus par plaisir pur.

NCIS – CBS – 2003 – en cours de diffusion.

Débutée dans les années 2000, j’ai adoré NCIS et les histoires entre les personnages. J’ai adoré l’évolution de la série jusqu’à la saison 11. Mon moment d’apothéose a eu durant la saison 9 où une enquête est réalisée tout le long de la saison, ce qui n’était pas dans les habitudes de la série.
Cependant, j’ai décroché à la saison 11 car je trouvais que le scénario manquait de renouvellement : un Marine est mort, c’est une attaque terroriste. Ok les gars, on sait qu’on est en guerre mais quand même, vous êtes pas le centre du Monde et il n’y a pas que les terroristes qui tuent les gens.

Pretty Little Liars -Freeform – 2010 – 2017

Sérieusement, 7 saisons pour ça? Vous vous fichez de moi? Honnêtement, je ne sais pas combien ont été payé les scénaristes mais clairement, vu le manque d’idée pour le script, c’était sans doute trop cher pour le travail fourni.
On retrouve exactement les mêmes choses à la saison 4 et à la saison 7. Quand on attend un dénouement final, on se retrouve avec le même servi trois saisons auparavant. J’aime bien le réchauffé, mais faut pas abuser non plus.

Love – Netflix – 2016 – 2018.

Love, j’ai adoré la première saison, j’en ai même parlé dans un article sur les formats courts qui sont sympas pour passer le temps. Mais je n’ai pas réussi à reprendre la saison 2. Trop de drames, plus assez de fun. J’ai toujours envie de savoir la suite, mais pas pour l’instant. C’est dommage car j’étais très attaché aux personnages de Love, Mickey et Gus : je les trouve touchant l’un comme l’autre. Bref, avec la fin de la série en 2018, il me reste 2 saisons à regarder, ce qui est faisable.

Arrow – CW – 2012 – en cours de diffusion.

Comme Pretty Little Liars, Arrow aime bien se la jouer à rallonge. J’avais déjà lâché lors de la saison 4 (j’en parle ici dans mon article sur Netflix), j’ai repris et de nouveau abandonné au début de la saison 6. Arrow est palpitante, on a toujours envie d’en savoir plus mais là, trop, c’est trop. Je veux bien qu’on soit attaché aux personnages mais faire revenir des morts toutes les saisons, c’est un peu tordu quand même.
Il est bien entendu possible que ça fasse partie des codes des Avengers : toujours le même ennemi qui revient etc. Je ne m’y connais pas assez pour valider ou invalider cette théorie, tout ce que je sais, c’est que j’en ai eu assez et que je ne suis pas prête à me remettre à Arrow d’ici peu.

Girls – HBO – 2012 – 2017

Avec ses 6 saisons à son actif, Girls a toujours été dans mes séries à voir. Pour moi, elle correspondait parfaitement à ce que je vivais à l’époque : toi aussi, tu as dû te reconnaître dans l’errance post-diplôme ; toi aussi, tu as été aussi perdu que ces quatre filles à un moment donné. Cependant, j’ai vraiment eu du mal avec l’héroïne Hannah. Je ne dis pas que je ne la regarderais plus jamais, je dis simplement que je la regarderais quand je serais plus d’humeur.

Et vous, quelles sont les séries qui vous ont calmé, qui vous ont vacciné totalement?

Je vous embrasse,

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