N’est-ce pas bouleversant, quand on prend le temps d’y penser?
C’est une perspective à laquelle je me ramène souvent, quand je commence à me contracter. Car je ne sais pas si c’est également votre expérience, mais on dirait qu’il suffit parfois de prendre conscience du mal qu’on se fait pour arrêter. Oui, plus on voit le vrai visage de notre stress, moins on est prêt à l’accepter. Plus on voit la raideur sous-jacente à nos choix d’actions ou de pensées, plus on réveille la partie de nous qui refuse d’être écrasée.
Votre mantra du jour (si, bien sûr, vous l’acceptez) : «je suis plus important que le résultat».
Marie Pier Charron Matin Magique ***