Dans le Sète.fr, la tribune du mois de mars 2018 de la majorité municipale vaut son pesant de cacahuètes.
Dire que le déclassement du Boulevard de Verdun se solderait de tout compte pour le département par une compensation de transfert de 470.000 € sur un projet estimé à 15 millions d’€, sans dire que le département participerait au financement des travaux, comme il le fait pour tout projet structurant, c’est un mensonge par omission.
Et ce n’est pas faute des maints rappels, à diverses reprises, effectués par Véronique Calueba-Rizzolo et Sébastien Andral.
La vérité, c’est que le Département, comme les riverains, attendent toujours d’avoir connaissance du projet en lui-même.
Dire que François Liberti a accepté le déclassement de la route du Lido en 1998, avec les frais inhérents aux travaux, sans dire qu’en même temps, André Vézinhet, Président du Département, a signé avec François Liberti, Maire de la ville de Sète, un contrat engageant le Conseil Général, à financer à hauteur de 60% la nouvelle promenade Maréchal Leclerc ainsi que le Boulevard Joliot-Curie, laissant à la ville 20% du financement et à l’Europe le reliquat de 20%, est aussi un gros mensonge par omission.
Sans parler de l’intervention du Conseil Général dans le financement de l’aménagement du Lido.
Les polémiques stériles avec les collectivités partenaires, ne sont jamais bonnes pour faire avancer les dossiers.
Les Elus de Puissance Sète – Le Rassemblement
28 March 2018