Pour un bloggeur, un forumeur, ou n'importe qui répondanrt à des commentaires sur des éditions internet de journaux ou autres, seposent à un moment la question de répondre sous soon vrai nom ou
sous un pseudo.
Le coup du pseudo permet à des Elkabbach et consorts de tenter de mordre aux mollets ces vilanians blogggeurs sans déontologie, la déontologie d'Elkabbach, il l'a encore prouvée récemment
étant pourtant à géométrie variable.
Bon, il y a des cas ou les bloggeurs utilisent leurs vrais noms, comme dans le cas de Marc Vasseur, ex député retiré ou de "gloires" du journalimse
comme Apathie comptant sur leur notoriété pour attirer l'internaute et l'éblouir par l'intelligence de ses saillies (rein de sexuel là dedans), ce qui permet à Luc Mandret de lui répondre aussi sous son vrai nom sans risquer de se faire incendier pour lâche anonymat.
D'autre, tels que moi, pour des raisons personnellles, professionnelles parfois, nous réfugions, dissimulons voire nous réinventons derrière un pseudo. C'est surtout valable dans certains milieux
quand vous tenez un blog politique. Quand dans votre profession (ou secteur) se trouve un majorité de sarkolâtres, il est plus simple pour ne pas risquer quelques menus tracas d'avoir recours à un
pseudo et puis, cela permet de se réinventer comme le souligne DidierB. dans son article.
Lui, je suppose qu'il a simplement pris son prénom, accolé à son initiale, tout comme NicolasJ. Mais je peux me tromper.
Votre avatar internetien, votre pseudo devient une nouvelle identité, on en arrive à faire le complexe de Peter Parker ne voulant pas révéler qu'il est Spiderman.
Schizo, le blogger ? Non, mais le pseudo devient une signature...Si demain, je signe de mon véritable nom pour Sarkobasta ou l'annexe, je perdrais fatalement des visites, même en gardant la même adresse, les gens se demanderont si c'est toujours le même qui écrit. Au style, on
peut s'en rendre compte. Quoiqu'il en soit depuis quelque temps, je vis mes aventures internetiennes sous le pseudo de Rébus, c'est devenu une seconde nature.
Pourquoi ce pseudo ? Je n'en trouvais pas qui me convenait, j'ai cherché pas mal de trucs, depuis les diverses mythologies jusqu'au cinéma, héros de littératures ou de BD, rien ne venait.
Il se trouve qu'à ce moment, je lisais un livre de Ian Rankin, l'auteur de la série des inspecteur Rébus (prononcez le s). Comme j'adore le personnage, son côté bougon, quelque peu
porté sur la bouteille (pas trop mon cas, sauf à l'occasion) accro total à la cigarette, tête de lard prononcée au point d'être toujours en butte à sa hiérarchie, obstiné comme un pittbull et
aimant jouer les héros solitaires, grand amateur de rock qu'il écoute vautré dans un fauteuil à sa fenêtre, mis à part la différence d'âge et le commencement de bedaine de John Rébus, je me
trouvais des affinités avec le personnage.
Rébus n'est pas un flic observateur scrupuleux de la loi, ce n'est pas non plus un vengeur, nettoyeur façon Monsieur Propre. Simplement, il a le cuir dur mais l'épiderme sensible et pour réparer ce
qu'il considère comme des injustices, il n'hésite pas à foncer, tel l'éléphant dans le magasin de porcelaine, écrasant quelques pieds et froissant des susceptibilités et des égos, même chez ses
amis. De plus, son sale caractère (et ça, je connais) lui a régulièrement fait louper les chances de promotion s'offrant à lui.
Bref, un personnage attachant que je vous invite à découvrir si vous ne connaissez pas. (Il se trouve aussi que juste après, jécoutais les Bérus qui sont...l'anagramme de Rébus.
Voilà, j'ai fait lecture, liens et copinages, my life, et même musique dans le même article. Je me jette des fleurs virtuelles.
On peut noter que chaque titre de Rankin est un titre de chanson tel Let It Bleed des Stones ou Hanging Garden de Cure. Ce que l'on ne perçoit pas toujours dans les
couvertures françaises. ces livres sont aussi une évocation cauchemardesques de l'Écosse et des ravages du chômage dûs à la déréglementation, et délocalisations tous azimuths. Mais bon, c'est pas
mon blog politique ici.