Buzz : C'est l'été. Les jours rallongissent, les jupes raccourcissent (je rime comme je veux d'abord). Anderton se dit qu'il a bien fait d'embaucher cette petite stagiaire aux gros seins car son open space l'oblige à passer la tête par dessus la cloison pour lui parler ; Black Mamba se demande si son petit maillot ramené du Brésil ne fait pas un peu "piège à ron jérémy" ; quant à Marcel Martial, il a ressorti les clubs de golf pour aller défoncer du mulot.
C'est donc le moment de se faire un "le dessous des cartes" du cinéma mondial (oui, l'émission qui te fait te rappeler que tu étais vraiment un gros branleur en cours de géo mais que la prof elle était quand même bandante, à moins que ce soit ta voisine de droite, tu as un gros doute). Donc "le dessous des cartes", aujourd'hui : "Mais que veut nous dire le cinéma américain? ".
Ciné niqué
Et bien tout est dans le titre, oui mon vieux. Parce qu'il suffit que tu t'enfiles de suite les trailers de Phénomènes (on a niqué la nature, donc la nature nous re-nique deux fois plus fort), puis Le Jour où la Terre s'arrêta (bon, nous, on croit pas aux martiens mais si jamais ils existaient, ils feraient tout ce chemin pour venir nous niquer), The Knowing (déjà, y a 50 ans, une petite fille savait qu'on serait niqués).
Si en plus tu combines avec Hancock (les super-héros sont dépressifs et en ont rien à branler de nous), Blindness (ça sert à rien de flipper, on verra plus rien d'ici là), The Dark Knight (le salut passe par les chauves-souris)... Moi, je dis, on a affaire à des malades, paranoïaques au dernier degré et le pire... je crois qu'on aime ça!
Johnson & Johnson (twin towers)