Toi du pouvoir le choisi,l’élu par tes semblables,
Honte à ton âme,
Comment as-tu osé,à ce point,pervertir la noble république,
La tromper,l’oeuvre de vérité retrouve ton passé,
Cesse cette défense en fausses paroles,
Plus jamais en ce temps ne seras-tu noble,
Déjà ton éternité t’affirme en conscience mille et mille regrets,
Il n’est plus temps,encore,de duper,
Te faut-il enfin faire oeuvre d’humilité,
Emplir de vive sincérité le corps même de tes pensées.