Jacques Roubaud, dans une de ses Remarques, propose cette contrainte : Dans un texte, les mots doivent contenir deux voyelles, un e et une autre voyelle. Il ne s’agit pas de bivocalisme ; si tous les mots contiennent un e, la seconde voyelle peut être différente d’un mot à l’autre.
Je modifie un peu la proposition de Jacques Roubaud : sa règle s’appliquera ici aux mots de plus de trois lettres.
Exemple :
Après quelques septante années, il devra tenir encore et regarder ce qui vient.
C’est à vous main tenant. Vous posterez vos phrases sous ce message, où est écrit « commentaires ». Merci