L'administration inhumaine est bien toujours présente. Et la chute de l'histoire n'augure pas spécialement des jours meilleurs. Et du coup, ce récit d'anticipation lorgne soudain vers la politique-fiction. Là aussi avec une touche bien pensée qui fait froid dans le dos par son réalisme. Cyril Pedrosa se fend donc d'une tranche de vie dans un Paris de 2050 qui ne nous laisse pas de marbre. Il touche juste par ce monde glacé et par ce personnage, Kader, qui subit beaucoup et dont les rebellions ne semblent pas le mener bien loin.
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