Les éditions L'Harmattan avaient accepte de publier mon nouveau livre : "Le vieux monsieur à Venise" et a,alors débutée la période de fabrication du livre. Je leur ai adressé une photographie qui pouvait bien illustrer, selon moi , la couverture. Hors je me suis aperçu que cette maison d'édition avait des pratiques singulières. D'abord le contrat prévoyait qu'elle ne rémunérait qu’après la vente des 500 premiers ouvrages. J'ai accepté cette clause exjorbitante car cette publication n'est pas ,pour moi, une question d'argent. Mais après je me suis vite rendu compte que cet éditeur ne faisait pas son travail d'éditeur et qu'ayant relevé un certain nombre de fautes d’orthographes ou de grammaire il sollicite de l'argent pour les corrections alors que c'est le travail de tout éditeur sérieux et alors surtout qu'il ne paie rien avant les 500 exemplaires. J'ai donc renoncé a ce contrat et j'ai décidé de publier moi-même sur internet.
Le livre porte un sous-titre,un peu énigmatique mais qui dit quel est le projet."Autobiographie sentimentale et romanesque" . Je reproduit ici le texte de la dernière de couverture que j'ai rédigé et qui vous en dira un peu plus (mais pas trop et pas tout) sur ce qu'est ce livre.
"Ce récit, autobiographie sentimentale et romanesque, aurait pu s’intituler, si le titre n’était pas déjà pris : « Une vie », une vie à la fois ordinaire et extraordinaire comme le sont toutes les vies. Il y a là une confession avec ce qu’elles ont quelques fois d’impudique et il en résulte un autoportrait intellectuel et moral d’un homme du siècle, probablement un exemple d’une espèce en voie de disparition, attaché aux livres, à la réflexion et à Venise et, ici, animé par un grand amour et par le souvenir impérieux, à la fois doux et nostalgique, de l’Algérie pays de l’enfance, revu une dernière fois, après une très longue absence, avant la mort.Ce voyage de retour, sur les lieux de sa jeunesse à Sétif, Constantine et Alger, plus de cinquante ans après avoir quitté le pays et qui, selon l’auteur, « boucle sa vie » accentue encore chez lui le sentiment du temps qui passe, détruisant tout etlui donne une plus grande lucidité sur la vie.Celui qui s’exprime, ici, essaye de donner une cohérence à sa vie, dresse son portrait en écrivant ce qu’il aime et se rend compte qu’il n’y a d’homme et de vie d’homme que par la mémoire. Que serions-nous sans l’armature de notre mémoire ? Rien. C’est elle qui rassemble cet être ondoyant et divers que l’on appelle moi."
Certains y retrouveront (pour un tiers environ) le récit de mon voyage de retour en Algérie en 2015 mais tout le reste est nouveau.
Ce livre est disponible en version papier et en version tablette et smartphone sur Amazon.