Je ne te fatiguerai plus avec des poèmes.
Disons que je t’ai dit
nuages, ciseaux, cerfs-volants, crayons,
et que peut-être une fois
tu as souri.
*
No te voy a cansar con más poemas.
Digamos que te dije
nubes, tijeras, barriletes, lápices,
y acaso alguna vez
te sonreíste.
***
Julio Cortázar (1914-1984) – Crépuscule d’automne (Corti , 2010) – Traduit de l’espagnol (Argentine) par Silvia Baron Supervielle.