Les Mahorais sont las de voir leurs îles se faire envahir de Comoriens clandestins : il n’y a ni police, ni justice, ni garde-côtes. Ils veulent qu’on rétablisse l’ordre et être traités comme les Français de métropole. Wauquiez, en campagne pour une législative partielle, y a fait son travail d’opposant. Il a émis l’hypothèse d’une suppression du droit du sol qui éviterait au moins aux clandestins de pondre de futurs Français de papier.
Mais approfondissons un peu : après pas mal de péripéties, ce n’est qu’en 1976 que cet ex protectorat Français est devenu un TOM et en 2001, Sarkozy ministre de l’intérieur en a fait un DOM, afin de renforcer la tutelle de l’état Français. Or c’est bien ce statut de département qui entraîne cette ruée vers les aides sociales françaises de la part de toutes les îles du coin (Mayotte fait partie de l’archipel des Comores), plus fauchées les unes que les autres.
Les Mahorais se plaignent de n’être pas traités comme des Français ? Ils se trompent. Comme les Français de métropole, ils subissent le délitement des taches régaliennes de l’état, accompagné du « vivrensemble » imposé d’en haut. Seule différence avec les Français de métropole : ils sont totalement islamisés, totalement étrangers à notre mode de vie et à nos lois, préférant celles de l’islam. Ça ne les empêche pas de réclamer plus de France et de profiter de nos aides sociales.
Peut-être devrions-nous y réfléchir, parce que Mayotte est en petit ce que le macronisme prépare à toute la France.
Macron les a non seulement laissés tomber, comme il laisse tomber tous les Français (sauf pour les saigner à blanc et leur inventer des interdictions), mais sa ministre d’outremer n’a rien trouvé de mieux que de proposer une commission pour y réfléchir. Avec ça ils sont sauvés… La presse se tait étrangement.
Mais pourquoi nous obstinons-nous à conserver de tels boulets ?