Toll, de Daïga Grantina, au Palais de Tokyo, à Paris

Publié le 12 mars 2018 par Onarretetout

C'est de loin que le visiteur voit d'abord cette oeuvre, sous un éclairage zénithal. Et quand il s'approche, il lui semble qu'il faut pénétrer dans cet espace. Et le voici dans un corps : le sang y circule, certains tissus ont l'air spongieux, des voiles figurent des tremblements. Dans un corps humain, entre des organes, dans la vie.