Il faut pourtant dépasser ces malaises qui nous saisissent à la lecture de ces paragraphes plein de noirceur pour rebondir sur l'enchantement dont Juliet se fait l'écho lorsqu'il produit une oeuvre qui le satisfait ou qui élève son âme.
Voilà un journal singulier qui mérite la lecture par son refus de la médiocrité de forme et de fond. Une véritable leçon pour tous les écrivaillons de l'autobiographie qui frétillent en surface sans jamais briller.