« Quel buveur de café es-tu ?
- Le glandeur. Ton objectif : grappiller un maximum sur le temps de travail. Tu laisses passer les gens pressés, papotes avec tous les collègues que tu vois, et n’hésites jamais à te prendre un deuxième café.
- Le sprinter. Tu trépignes en faisant la queue, tu t’impatientes en attendant que ton gobelet se remplisse, pour file ensuite direct dans les starting-block. Définitivement la meilleure façon de paraître overbooké.
- L’imposte Tu détestes le café mais tu as bien compris que c’est autour de la machine que tout se passait. Tu te forces donc quotidiennement à avaler ton jus de chaussettes infect pour rester dans la course.
- La bonne poire. Tu te fais régulièrement avoir par la stratégie marketing consistant à appeler « gourmandes » certaines boissons de la machine à café. A toi l’infâme capuccino au lait en poudre et son arôme cacao.
- L’acteur studio. Tu fais tes réunions autour de la machine à café, soit en débriefant très fort pour faire l’intéressant, soit en parlant tout bas pour te la jouer confidentiel. Le but : paraître overbooké.
- Le routinier. Tous les jours sans exception, et à horaires fixes, tu retrouves le même groupe de collègues pour échanger sur votre sujet favori : le programme télé de la veille.
- Le joueur. Plus que le café, tu es accro à la touillette fournie avec. Tu repars donc toujours avec ton « jouet » en plastique que tu vas machouiller toute la journée, rendant fous tes voisins de bureau.
- Le taxeur. Il te manque toujours 10 centimes pour te payer un café. Pro dans l’art de fouiller tes poches l’air embêté devant la machine, tu manipules savamment tes collègues qui n’ont d’autre choix que de te dépanner.
- L’ovni. Cela te paraît normal de choisir un potage à la machine à café. Que ce soit le matin, au déjeuner ou pour le goûter : tu adores littéralement cette soupe lyophilisée à l’aspect plus que douteux.
- Le collectionneur. Tu prends au moins trois cafés par jours, que tu rapportes à ton poste sans les boire, pour la plupart. Tu accumules donc de façon très énigmatique les gobelets de café froid.
- L’autiste. Tu détestes les moments de convivialité à la machine à café. Tu y vas donc aux heures creuses, ou adoptes une tête soucieuse, pour bien faire comprendre que tu n’es absolument pas ouvert à la discussion.
- L’addict. Tu n’es clairement pas du matin. Ce n’est donc même pas la peine de t’approcher tant que tu n’as pas pris ton premier café. Chacun de tes collègues l’a un jour appris à ses dépens. »