Tout le monde devrait s'amuser à retenir la formule ci-dessus, ce fameux "facteur gamma" illustrant la dilatation du temps pour un objet allant de plus en plus vite (dans v2), comparativement à la vitesse de la lumière (dans c2).
Le postulat :
Albert Einstein a pensé nous démontrer qu'il nous est impossible de voyager plus rapidement que la lumière, mais nous allons voir qu'il a voulu nous cacher quelque chose de crucial..
Pour tous ceux qui ont fait un peu de "factorisation", il est très simple d'arriver à une autre conclusion, et pour les autres .. suivez le guide des 15 secondes d'explication !
La démonstration
Tout se passe évidemment dans la partie de la formule située sous la barre du nombre 1 et à l'intérieur de la racine de [1 - v² / c²]. Cette façon de présenter les choses est très obscure: que vient faire ce nombre 1 entre les guillemets ci-dessus ? De où vient-il ?
En fait, [1 - v² / c²] est une réduction de c²/ c² - v²/ c² ; inscrivons-le de préférence de cette façon : [1 - v² / c² ] = (c/c)² - (v/c)².
Or, en factorisation, il est bien entendu qu'en théorie, a² - b² = (a +b) . (a-b)
Dans ce cas: nous avons: [1 - v² / c² ] = [(c/c) - (v/c)] . [(c/c) + (v/c)]
Et alors, il se passe quoi, à ce stade ? Rien, si nous en restons là. Mais si nous continuons à avancer, nous voyons que [(c/c) - (v/c)] . [(c/c) + (v/c)] est égal à [(c-v) / c] . [(c+v) / c].
Déjà à ce stade, nous voyons que dans le calcul des 2 facteurs ci-dessus, nous en avons un qui présente l'addition c+ v ; ainsi, Albert Einstein nous cachait bien sa découverte .. car vous pouvez me croire, c'est en faisant la route en sens inverse de cette démonstration, qu'il est arrivé au facteur gamma présenté au début de cette page.
Voici présentée "son idée de base" de la façon la plus concise possible, et la plus probante.
1 - v²/c² = [(c-v) / c] . [(c+v) / c]
Continuons aux origines de la pensée de A. E., en replaçant tous les signes ensemble
Et terminons enfin par ceci
Conclusions
1. Nous voyons que la multiplication [ (c+v) .(c-v) ] est une hérésie pour la physique; pourtant il s'agit bel et bien d'une "balade" de chaque côté de la valeur de c. C'est indiscutable, à ce stade. Cette "balade" est représentable par la vibration d'une corde dont la tension serait égale à c², et dont l'amplitude, de chaque côté de la corde, est donc égale à 2 v.
L'on retrouve cela ci-dessous dans la spirale de Tromsö:
Cette spirale créée par un procédé extra-terrestre montre la surface blanche représentant la tension circulaire de c², et en son centre une vitesse² dont le rayon correspond au pourcentage de c désiré pour la vitesse du véhicule qui veut partir directement, sans accélération, à une vitesse colossale.
Cette façon de penser est intéressante pour 2 raisons: la vitesse de n'importe quel véhicule est une vibration linéaire de c², mais soutenue par sa tension inimaginable; pour d'autres recherches, elle permet aussi d'entrer dans les valeurs prétendûment immuables de la perméabilité et de la permittivité électrique (voir ci-dessous en 3).
2. En analyse dimensionnelle (cliquez ici), le facteur gamma n'est PAS une dilatation du temps, mais une dilatation d'échelle: c'est donc un simple nombre, un scalaire, et en l'associant avec le temps, on l'interprète comme une dilatation du temps; mais nous avons besoin de revenir à plus de pureté par la représentation des rapports de vitesses, notamment pour la compréhension du paradoxe des jumeaux, de Langevin. Affaire à suivre, donc..
3. La vitesse de la lumière dans le vide est aussi égale à ceci ...
... cette formule est censée être immuable, car " epsilon 0 " est la permittivité dans le vide, et " mu 0" est la perméabilité dans ce même vide; la conséquence facile à comprendre c'est que ces 2 valeurs magnéto-électriques peuvent fluctuer et c² possède les unités d'une densité d'énergie, c'est-à-dire d'une pression de base à partir de laquelle on peut + ou - s'éloigner..
4. La vitesse de la lumière est dépassée dès qu'une vitesse cinématique est différente de 0.