Je n'ai pas d'antipathie particulière pour Nicolas Sarkozy. Pas plus du moins que je n'en ai pour le ballet pathétique de ces ambitieux sans
rêves - mais des désirs, ô combiens de désir - qui nous gouvernent ou tentent de le faire. Je n'ai pas de sympathie non plus pour ce président à la mentalité et à la rhétorique d'épicier réac. En
gros, comme un con, j'attends juste que ça passe, avec quand même un sale goût de bile dans la bouche.
Mais grâce à lui, je viens de tombrer amoureux d'Audrey Pulvar.
Alors merci Nicolas, merci, vraiment.
Sarkozy face à Pulvar
par BLACKMUSICS