Ce qui m'étonne grandement puisque la France avait fait la même chose avec les terroristes italiens mais que c'est Nicolas Sarkozy lui-même qui revient maintenant sur la parole de la France de l'époque (où est la continuité de l'Etat ?) et renvoie un par un les repentis vers les tribunaux et à n'en pas douter les geôles italiennes. Quand on (la France) prend un engagement, on s'y tient.
Je doute que les FARC aient pris en compte ce genre de péripéties pour ne jamais accepter aucun échange demandé par N. Sarkozy mais à l'heure place, la parole de la France, je n'y aurais pas accordé beaucoup de crédit !