Ensuite, je me souviens avoir fait la Vallée Blanche, avec lui, au printemps 1970. Nous l'avions pris chez lui à Scionzier, où il travaillait comme technicien.
Morzine lui manquait tellement, que peu de temps après, il abandonna son poste et sa carrière industrielle pour nous rejoindre à l'école de ski d'Avoriaz.
Depuis, je le voyais tres tôt chaque matin en train de préparer et de farter ses skis.
En plus des ses hobbies comme le jardinage, la pêche et la chasse, il avait monté, en compagnie d'un autre moniteur d'Avoriaz, une entreprise d'entretien qui le tenait très occupé pendant le reste de l’année.
Je garderai en tète sa bonne nature, son sens de l'humour et sa simplicité.
C'est un bon copain qui va me manquer.