«Les visites de détenus à Aden sont encourageantes, car ce sont les premières de ce genre que nous ayons pu organiser en presque trois ans d’hostilités », indique le président du CICR, Peter Maurer. « Il s’agit d’une avancée supplémentaire pour le CICR, qui effectue déjà régulièrement ce type de visites à Sanaa depuis novembre 2017.»
Des centaines de familles au Yémen et ailleurs dans le monde ont sollicité l’aide du CICR ces dernières années, à la recherche désespérée d’indices concernant leurs proches disparus. Certaines ne savaient même pas s’ils étaient encore en vie.